top of page
Rechercher
  • Photo du rédacteurautisme qui roule n'amasse pas mousse

Premier objectif atteint : le détroit de Gibraltar !

Pour la dernière semaine de février, nous avons roulé entre Cabo de Gata et Tarifa.

Sue et Gib sont en grande forme et affichent une fiabilité rassurante. Certains jours, un bon vent d’est nous a donné un petit coup de pouce. Il y a eu aussi pas mal d’efforts à fournir en raison du relief ; nous nous y attendions mais par moment, nous nous sommes quand même demandés si Satanas n’avait pas utilisé une machine de son invention pour plisser le terrain.


Notre coup de coeur de la semaine a été pour la ville de Nerja.


La grande première émotion fut de voir apparaître le rocher de Gibraltar…

Nous y sommes arrivés le 28 février, ça tombait bien : c'était le jour de la fête de l'Andalousie et tout, ou presque, était fermé côté espagnol. Pause repas au royaume de sa Majesté donc avant de filer en fin de journée sur Tarifa.

Sur la route, deuxième grande émotion face au panorama offert par le détroit de Gibraltar et en arrière plan les côtes africaines. Si près, si loin… !

Petit regret devant cette côte marocaine qui nous tendait les bras mais le trafic passager par ferry entre l’Espagne et le Maroc est toujours suspendu. Le projet initial de passer par le nord Maroc avant de regagner l’Italie est donc abandonné mais nous nous y attendions.

Qu’à cela ne tienne ! Nous allons parcourir le sud du Portugal et trouverons une astuce pour rejoindre Barcelone afin d’y embarquer pour l'Italie.

Pour nous, c’est sans gravité et nous n'essaierons pas de passer au Maroc sur une embarcation de fortune…


Les leçons de l’étape :

  • A vélo le vent dans le dos c’est du gâteau.

  • Qui dit montée, dit descente.

  • Une frontière c’est moche, encore plus quand elle est fermée, que ça soit à cause d’un virus, de la violence ou de l'égoïsme des nations.

Diaporama :


237 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout
bottom of page